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Special SAAQ dans Le Devoir
Heu, j'en ai-tu manqué des bouts moi là :?: :?: :?:«On est heureux que M. Harbour soit reconduit pour un nouveau mandat», dit Éric Bouchard, président de l'Association des concessionnaires de véhicules de loisir du Québec. Une relation de confiance s'est établie entre M. Harbour et les groupes de motocyclistes, dit-il. Pardon? «Il a fait un travail honnête et a une certaine oreille. Il avait une job à faire, certainement pas la plus agréable, mais il l'a faite.»
http://www.ledevoir.com/2008/03/01/178487.html
et aussi
http://www.ledevoir.com/2008/03/01/178474.html
Réponses
LA RADIO DES MOTOCYCLISTES http://www.motodirect.net/radio
COURRIEL: lecavalierdenis@yahoo.com
Entre les motocyclistes qui n'en peuvent plus de passer pour des casse-cou, le gouvernement qui a longtemps pigé dans la caisse et les avocats qui voudraient en contourner les règles pour lancer des poursuites, la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) a ce don inouï de susciter la controverse.
L'institution, qui souffle aujourd'hui même ses 30 bougies, s'est trouvée au coeur d'innombrables tempêtes. Et a survécu. La prochaine frappera le portefeuille: les nouveaux tarifs, proposés en 2006, entrent enfin en vigueur cette année. La controverse, en fait, remonte aux origines mêmes de ce géant mal aimé. Après toutes ces années, l'ex-ministre Lise Payette, qui a piloté le dossier dès l'élection du Parti québécois en 1976, se gratte encore la tête. Comment une politicienne recrue qui ne connaissait rien à l'assurance a-t-elle pu hériter d'un dossier si explosif qu'il allait semer la panique dans l'industrie, enrager des centaines d'avocats et donner des sueurs froides aux courtiers d'un bout à l'autre du Québec?
Imaginez deux secondes: du jour au lendemain, on allait interdire les poursuites civiles et les accidentés de la route allaient désormais être indemnisés par une caisse collective, peu importe que l'accident ait été causé par l'ange au volant ou l'ivrogne au pied lourd. Les compagnies d'assurances voyaient tout un pan de leurs activités s'effondrer. Du même coup, les avocats digéraient mal qu'on abolisse les poursuites entre victimes et chauffards, une manne lucrative pour plusieurs d'entre eux.
«Ç'a levé si fort que j'ai pris la décision très vite de ne recevoir personne dans mon bureau», dit Lise Payette. «C'était impossible. La résistance était si forte que je n'y serais pas arrivée autrement.» Si les opposants voulaient parler, c'était en commission parlementaire, devant tout le monde. À prendre ou à laisser. «On se faisait traiter de fous. On se faisait dire qu'on était les seuls en Amérique du Nord, qu'on enlevait aux gens le sens des responsabilités...» Appuyée notamment par son chef de cabinet, un avocat, elle a dû suivre un cours accéléré sur l'univers de l'assurance. «J'étais devenue imbattable», dit-elle.
Impossible en 2008
Trente ans plus tard, la mise sur pied d'un tel régime serait impensable. À deux reprises au cours des dernières années, des provinces ont songé à mettre en place un régime d'assurance sans égard à la responsabilité (le no-fault), à l'image du Québec, du Manitoba et de la Saskatchewan. À deux reprises, elles ont abandonné l'idée.
Premier cas. En 1990, Bob Rae arrive à la tête d'un nouveau gouvernement néo-démocrate avec le projet de mettre sur pied un tel système. À peine un an plus tôt, cependant, le Canada a signé l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA)... Placées devant les intentions de M. Rae, les compagnies d'assurances commandent une étude. Celle-ci conclut que la mise sur pied d'une assurance publique constitue, au sens de l'ALENA, une «expropriation» commerciale car elle va priver les compagnies de revenus futurs. Elles brandissent une demande de compensation de 2 milliards... et le projet meurt dans l'oeuf en 1991.
Deuxième cas. En 2004, le Nouveau-Brunswick envisage lui aussi la création d'un tel système. Aux prises avec le mécontentement de la population en ce qui concerne les primes d'assurances privées, le gouvernement conservateur de Bernard Lord analyse d'abord une étude favorable signée par un comité législatif. Encore là, l'industrie de l'assurance laisse planer d'éventuels problèmes en vertu des accords commerciaux. Et le projet est remisé.
«Les assureurs du Québec, pour leur part, se sont aperçus que le no-fault, c'est bon pour eux», dit l'avocat Marc Bellemare, spécialiste en la matière. «Le gouvernement s'occupe des dommages corporels, c'est à dire les bras, les jambes, les têtes, les décès, etc. De l'autre côté, les assureurs, eux, s'occupent de la tôle. Bien, de la tôle, c'est payant.» Alors qu'une automobile vaut quelques dizaines de milliers de dollars, l'assurance d'une personne coûte beaucoup plus cher et comporte des risques plus élevés, dit-il.
Les choses ne sont pas si simples, dit le porte-parole du Bureau d'assurance du Canada (BAC), Alexandre Royer. «Le système s'est beaucoup allégé», dit-il. «Avant 1978, il ne fonctionnait plus, il y avait des délais, les enquêtes étaient très longues.» La mise en place du régime en 1978 s'est accompagnée d'une convention faisant en sorte que chaque assureur paie pour son propre client. Les procédures se sont améliorées, ce qui s'est soldé par des coûts d'assurance plus bas au Québec que partout au Canada.
Le système fonctionne si bien pour tout le monde, fait valoir le BAC, qu'en 2003, lorsque le gouvernement Charest a fait planer des changements pour permettre des poursuites dans certaines circonstances, le BAC s'est dit contre.
Un détour financier
L'appui des assureurs au modèle unique que s'est donné le Québec ne veut pas dire que celui-ci est parfait. L'absence de murets de sauvegarde a donné lieu à quelques écarts de conduite au fil des ans. Car le coup de barre financier qui entre en vigueur cette année n'aurait peut-être jamais été nécessaire, disent certains, si le gouvernement québécois n'avait pas pigé 2,2 milliards dans la caisse au cours des années 1980 et 1990.
En appliquant des intérêts annuels même très faibles à ces sommes, détournées du réservoir de la SAAQ en direction du fonds consolidé du gouvernement, on a peine à imaginer tout l'argent qui aurait pu être généré par des rendements d'investissement. Les coffres de la SAAQ, dont l'argent investi est géré par la Caisse de dépôt et placement, sont désormais étanches. Mais les fuites ont laissé des traces indélébiles sur les finances.
«Cette pratique, à mon avis, a été la plus grosse erreur de l'histoire de la SAAQ. C'est du vol, pur et simple», dit Lise Payette. «J'ai des reproches à faire aux conseils d'administration de la SAAQ. Je ne dis pas que ce sont toutes des mauvaises personnes, mais elles se sont fait passer ça sous le nez. Si le conseil avait réagi comme un vrai conseil d'administration et qu'il avait alerté la population, il se serait passé quelque chose.»
Me Bellemare affirme que cette fuite d'argent de la caisse de la SAAQ vers le gouvernement a eu pour effet de faire cotiser indûment les automobilistes et d'affecter l'indemnisation des victimes. «Le gouvernement a asséché les réserves de la SAAQ, et c'est odieux», ajoute-t-il. «Et aujourd'hui, on paie pour ça.»
Problème d'image?
Hormis l'impact financier, ce détournement a eu des conséquences profondes sur la perception de la population. Des années s'étaient écoulées, mais l'annonce de nouveaux tarifs, en 2006, a provoqué la colère chez plusieurs groupes. Avait-on oublié que la SAAQ n'est pas seulement un percepteur, mais aussi un fournisseur de services? Que la caisse est désormais à l'abri des mains du gouvernement? En fait, y aurait-il un problème d'image?
«De manière générale, on n'est pas conscient de la couverture offerte par la SAAQ lorsqu'on vit un accident d'automobile», répond le président-directeur général de la SAAQ, John Harbour, un comptable qui s'affaire depuis trois ans à remettre de l'ordre dans la maison. «En Ontario, par exemple, votre assureur privé va vous dire un jour: "Bon, cette année, pour vos médicaments, vous avez atteint le maximum, donc..." Au Québec, ce n'est pas comme ça.»
Arrivé en provenance du Mouvement Desjardins au début 2005, M. Harbour a donné tout un coup de barre. La nouvelle grille de tarifs, dessinée en 2006, vise à corriger un déficit opérationnel inquiétant. Sur une base annuelle, la SAAQ ne récolte pas les fonds nécessaires pour financer les indemnités qu'elle verse.
D'abord critiquées, les hausses ont fini par convaincre à peu près tout le monde. Y compris les motocyclistes, dont certaines catégories subissent des augmentations radicales. Les concessionnaires de moto, pour leur part, ont vécu une baisse de ventes d'au moins 30 %.
«On est heureux que M. Harbour soit reconduit pour un nouveau mandat», dit Éric Bouchard, président de l'Association des concessionnaires de véhicules de loisir du Québec. Une relation de confiance s'est établie entre M. Harbour et les groupes de motocyclistes, dit-il. Pardon? «Il a fait un travail honnête et a une certaine oreille. Il avait une job à faire, certainement pas la plus agréable, mais il l'a faite.»
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Dévoilée en 2006 à la consternation générale, la hausse de tarifs qui est appliquée cette année par la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) représente une bouffée d'air frais pour l'organisme. D'autant plus que si le bilan routier s'améliorait, les finances pourraient s'embellir significativement d'ici quelques années, croit sa direction.
Pour l'instant, la situation financière de la SAAQ n'est pas rose. En 2006, ses dépenses d'indemnisation ont atteint 1,1 milliard. Les revenus, cependant, se sont chiffrés à 800 millions. D'où la révision des tarifs, pour éviter un casse-tête actuariel qui ne fera qu'empirer au fil des ans.
«Au bout de trois ans, l'augmentation des tarifs amènera 300 millions de plus dans les coffres sur une base annuelle», dit le président-directeur général de la SAAQ, John Harbour.
La direction de la SAAQ compte aussi sur une amélioration du bilan routier. L'objectif, dit M. Harbour, est de revenir au niveau de 2001, lorsque 610 personnes ont perdu la vie. L'an dernier, 717 personnes ont connu le même sort. Pour 2007, il pourrait y avoir un revirement de situation. Les données préliminaires montrent une chute de 14 % du nombre de décès et de 21 % du nombre de blessés graves.
«Revenir au niveau de 2001 permettrait d'abaisser de 130 millions le total des indemnités», dit M. Harbour. Au plan administratif, il y a moyen d'améliorer le fonctionnement de l'appareil pour économiser 70 millions de plus, croit-il.
D'abord prévus pour le 1er janvier 2007, les nouveaux tarifs de la SAAQ avaient été reportés au 1er janvier 2008. La SAAQ affirmait que son système informatique n'était pas prêt. Les esprits plus malins avaient conclu que la SAAQ avait tout simplement cédé à la pression des libéraux, qui ne voulaient pas froisser l'électorat à l'approche des élections du printemps 2007.
L'assurance automobile coûte moins cher au Québec qu'ailleurs au Canada. Selon le Bureau d'assurance du Canada, en 2006, un conducteur québécois payait environ 698 $ par année (SAAQ + assurance matérielle). Or pour une couverture semblable, le coût total en Ontario était de 1296 $, comparativement à 990 $ au Manitoba et 911 $ au Nouveau-Brunswick.
Pour les propriétaires de voitures, la hausse touchera surtout le permis de conduire, qui passe de 43 $ à 58 $. L'immatriculation bouge à peine, passant de 255 $ à 257 $.
Les motos frappées de plein fouet
Chez les motocyclistes, la grogne a été plus forte. Le permis de conduire pour véhicule avec classe moto passe de 43 $ à 96 $. Quant à l'immatriculation d'une moto, elle passe de 320 $ à 667 $ pour un modèle sport de 401 cc et plus, et de 320 $ à 416 $ pour un modèle régulier. «C'est pas que les motos ont beaucoup plus d'accidents», dit M. Harbour, selon lequel les motocyclistes paient moins de 25 % des coûts du régime qui leur sont attribués. «Mais c'est que la sévérité des blessures est beaucoup plus grande.»
Les motocyclistes n'en reviennent toujours pas. Il ne devrait pas y avoir de catégorisation, plaident-ils. «Le problème, ce n'est pas la moto», dit Éric Bouchard, président de l'Association des concessionnaires de véhicules de loisir du Québec. «Le problème, c'est le conducteur.» Les accidents de moto sont le plus souvent causés par des voitures, ajoute-t-il.
Depuis 2006, dit-il, les ventes de motos ont chuté de 30 %. Sur environ 200 concessionnaires dans la province, «quelques dizaines» ont fermé, selon lui. «On a eu deux années difficiles, mais les choses sont maintenant au beau fixe», dit-il. «Il y a une acceptation passive [des hausses].»
Certes, le système québécois a fait ses preuves, dit M. Bouchard, et les finances de la SAAQ méritaient d'être réglées. «On a des responsabilités envers les générations futures», reconnaît-il. Il se dit toutefois en faveur d'un système qui récompenserait les conducteurs au dossier vierge. Cette idée n'est pas exclue à la SAAQ, mais il faut d'abord équilibrer les livres, dit M. Harbour.
Pu capable ce genre d'argument. Toujours comparer la meilleure d'une situation à la pire.....ça tient pas ça....
Ma p'tite coche :wink:
Il admet donc qu'il pénalise les victimes et non les responsables des accidents.... bizarre d'interprétation du ''no Fault''
L'esprit du Loup Gris Solitaire
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Et on continue de mettre des motos d'experts dans les mains de nouveaux apprentis .... :roll:
Ça vas très bien madame la marquise. !!!!!! :evil:
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Varlo en sait aussi quelque chose lui aussi, on a beau expliquer avec un arrêt dans des portions plus difficile, faire des breefing avant les rides, plusieurs novices ne comprennent pas le danger de vouloir suivre un tempo trop élevé pour eux car leur niveau de compétance n'est pas assez élevé.
Quand je parle moto d'expert j'inclus des 600ss, même si c'est des motos d'intermédiaire avancé, il y en a plusieurs qui s'achètent ça comme première monture en pensant qu'un 600ss c'est pas violent, mais ça peut facilement l'être pour un novice.
En Europe, (France) c'est pas pour rien que les novices en bas de 25 ans sont limiter à 34 cv. pour 2 ans, et ils ont un très bon résultat depuis cette mesure.
Faut pas se mettre la tête dans le sable que la moto sport ce n'est pas juste pour regarder le paysage, mais pour piloter sportivement ( même si ça se fait sécuritairement) et c'est là que la formation et l'expérience entre en ligne de compte, et aussi là que les novices essaient de suivre même s'ils n'ont pas les qualifications requises.
C'est aussi pour cette raison que l'on fait des groupes selon l'expérience de chacun, ou que l'on fait des rides avec seulement des gens d'un certain niveau.
Mais c'est pas de savoir les stats qui est important, c'est que ça n'a simplement pas d'allure de mettre dans les mains d'un novice, une moto sport, il devrait "faire ses classes" sur une moto approprié avant d'accéder à la classe ultime et ce serait juste "normal". :wink:
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Je connais bcp d'ex-apprentis qui ont commencé avec de motos d'experts à qui il n'est rien arrivé les 6 ou 7 dernières années, absolument rien.
Selon moi les plus dangereux sont les sans cervelle, une tête brulé ca reste une tête brulé, pi ca c'est pas mal pire qu'un novice.
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Lorsque l'on voit un habile conducteur qui a appris tout seul, en débutant sur une grosse machine, sans jamais avoir eu aucun accident, les uns diront que c'est un conducteur très prudent, alors que les autres diront que tout le monde peut apprendre comme ça, sans aucune aide.
Alors que lorsque l'on voit un conducteur novice avoir un grave accident, les uns diront qu'il n'aurait pas dû toucher à ça, alors que les autres diront que s'il avait eu la chance d'apprendre à maîtriser sa machine avant de se lancer dans l'aventure, il aurait pû éviter cet accident.
L'erreur que tous font, c'est de généraliser à partir de ... 1 cas.
C'est une erreur de penser que tous ont besoin de formation pour conduire prudemment.
Mais c'est aussi une erreur de penser que tous sont capables d'apprendre par eux-mêmes à conduire prudemment.
La réalité est entre ces deux convictions personnelles. Et à mon expérience, la grande majorité des gens ont besoin de formation pour bien maîtriser leur machine et surtout, pour bien en profiter.
On repeuple un pays exactement comme on reboise une forêt. Ça prend 20 ans. Après, le premier imbécile venu y met le feu, on ramène le compteur à zéro et les affaires reprennent.(Greg)
La formation à moto est très bien mais la tête sur les épaules, ca n'a pas de prix. :wink:
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Et que dire de Kat, proprio d'une Harley, qui explique à Binoxx proprio de moto sport qu'il n'y a pas de statistiques qui prouvent que les débutants en sportive sont plus dangereux, c'est assez l'essence même de Motodirect, là ou la passion nous unit.
Tout ca pour dire que .. la SAAQ, ont même pas ces statistiques là ...
Ils continuent à dire la vitesse tue, quand 2 rapports déposés sur leurs bureau d'études concernant l'accidentologie moto démontrent que la moyenne des accidents mortels est à 49km/h dans les années 70 et 51 km/h en 2004 et qu'aucunes catégories n'est sur-représentée. Déjà .. d'ignorer ceci de catégoriser et en plus, augmenter toutes les catégories .. c'est dégeulasse.
Mon grain de sel est plutôt que je trouve triste que le "représentant des motocyclistes" soit une personne qui représente "les véhicules de loisirs" et non le CAPM.
Continuez comme ca, c'est super plaisant de vous lire :-)
Les sans cervelles j'en parle même pas, car tous savent qu'il n'y a rien à faire avec eux.
En tk, c'est mon point de vue, car je me fie pas à des stats, mais mon expérience personnelle de motard et aussi de celle d'amis qui roulent avec moi depuis des années, et un d'eux était découragé après en avoir ramasser 5 dans sa saison et il restais le mois de sept. et oct. à rouler, mais on n'est pas des rouleurs d"autoroute, mais de routes à courbes .
PS: je ne sait pas si c'est exact, mais M. Harbour a lui même déclarer que le taux d'accident en moto sport est (8 fois plus élevé) que dans les autres classes moto. Ça ne dis pas si c'est des novices ou non, mais je dirais oui dans une forte proportion et il persiste à leur permettre de conduire quand même que c'est pas des motos qui leur conviennent, mais qui a dit que M. Harbour connaissais la moto ?
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tous ne sont capable d'apprendre à conduire une moto correctement qu'importe la cylindré et la formation qu'ils recevront. :cry:
- j'ai vu des débutants plus habile après seulement quelques semaines ou mois que certains ne le seront jamais même après 20 ans.
- J'ai vu aussi des têtes brulé comme vous dites qui après 5, 10 et même 25 ans a faire cascades et n'avoir jamais eu la moindre égratignure.
- jamais je ne lis sur le forum qu'une personne raisonnable sur une moto sport à entre les mains un véhicule beaucoup plus sécuritaire que bien des customs "surtout les plus vieux qui n'avait que des freins très médiocre"
- j'ai vu des personnes très habile, expérimenté et prudent avoir des accidents pareil ou se tué.
je ne veux pas dire par là que nous ne devons pas faire des efforts pour mieux encadré la pratique de ce beau sport, mais y'a une limite pareil.
Crisse ont peux tu se regarder pour une fois dans le miroir et se dire :
" C'EST PLATE MAIS DES ACCIDENTS ÇA ARRIVE ET MÊME AUX MEILLEURS " la preuve Gilles Villeneuve
:shock: j'ai crevé l'abcès ! :shock:
le rapport des accidents mortels est réel mais en gros, pas très représentatifs de la réalité et de la SAAQ, et des motocyclistes
en fait, le nombre de mort se calcule pas en pourcentage de véhicule ni en pourcentage de vitesse mais en nombre total pour la SAAQ et surtout le nombre d'accidenté de la route.
eux, c'est ce que ca leurs coute qui les intéresse vraiment. Que la population motocycliste ai augmenter de 300% et que le ratio de mort ai descendu de 50% ils s'en foutent. Eux ca se limite a : combien ca va nous couter pour les accidentés. C'est vraiment platte a dire mais pour eux, un mort c'est pas grand chose puisque le mort réclame pas pendant des années.
D'un autre coté, comme les accidents de motos leurs coute plus cher en moyenne que les accidents d'auto et que leurs coffres sont vide, les motocycliste sont une cible facile. De un, ca prend juste une tete brulé sur la 15 un samedi apres midi pour que le commun des mortels passe sa fin de semaine a dire "encore des fous en moto" a chaque motos qu'il croisera ce qui fais l'affaire de la SAAQ puisque le bon peuple chialera pas contre les augmentations et de deux, la SAAQ nous cible puisque, encore une fois, le bon peuple dira rien puisque dans la majorité des cas, ca sort pas de leurs poches.
C'est pas représentatif de nous non plus puisque ca ne fait qu'indiquer la vitesse de la colision mortelle sans mise en situation. Tout ce que ca fait c'est dire qu'a 51 km/h tu peut mourrir en moto et la preuve, c'est la vitesse moyene des accidents mortels. Ca nous fais donc passé pour une gang de fou puisqu'on roule a 100km/h sur l'autoroute alors qu'il est prouvé que la vitesse moyenne des accidents mortel est de 51 km/h. Méchante gang de malade ! ils roulent le double de la vitesse mortelle !!!
A nulle part il est dit que l'accident mortel a 51 km/h était dans une zone de 50 et que c'est Gérard Binsaoul qui, une bierre entre les jambes, a reculer de son entré sans regarder avec son F-150 pour emboutir le motocycliste. (évidement j'exagère avec le Gérard Binsaoul mais vous comprenez le principe)
On se retrouve donc avec une mauvaise image a la SAAQ de par les couts qu'on risque d'engendrer, avec une mauvaise image d'après les rapports sur les accidents mortels puisqu'on roule bin trop vite et avec une mauvaise image face a la populace qui eux, se fie a ce qu'il vois le samedi apres midi sur la 15 et sur les experts qui pondent des rapport ou travaille a la SAAQ.
on apelle ca une situation lose-lose...
la triste réalité mais faudra s'y faire et surtout, oublier le support et la compréhension du gouvernement, de la populace et surtout, de la SAAQ
Les jeunes icitte et là, les motos sports = tuasse, le cell au volant.....patati patata. TOUT est dangereux! Pis là faudrait tout mais tout règlementer...crime, dans quelle société allons-nous vivre tantôt....on va avoir peur d'aller travailler à cause des dangers que ça peut occasionner.
Suis pas raciste! :wink: J'ai longtemps considéré l'achat d'une moto sport...et c'est pas dit que j'en aurai pas une dans un futur proche...sans toutefois me départir de mon ti-gars (c'est pour la vie nous deux :D ). Une R1 peut-être...qui sait??
C'est parce que je considère qu'un fou, à pied ou en moto ou en auto, c'est du pareil au même. Pis des accidents, c'est pas qu'aux conducteurs de sportives que ça arrivent. On les diabolise trop ces machines là. Ils ont ce qu'il faut pour rouler...juste pas les routes à mon avis. Mais quand je vois un p'tit boutede 5 pied 4 pouces, 105 livres rouler une grosse bebelle comme la mienne au bout de ses pieds et de ses bras, ça cloche...même si le p'tit boute est expérimenté, ça cloche pareil. Pis là y'é nullement question de vitesse.
Ces exemples sont peut-être tout aussi valables que ceux qu'on donne concernant les apprentis sur des motos puissantes quant à la sécurité. Outre la puissance, y'a le format qui peut aussi poser problème je pense quand il s'agit de contrôler une moto.
:D
Même qu'entre motocyclistes, certains diabolisent les proprios de motos sports, avec pour référence un ou deux pas fins. C'est triste.
La SAAQ, y'a longtemps qu'on aurait dû comprendre qu'ils pensent profits point à la ligne. Comme tu dis, les morts ça coûtent pas chers, ce sont les blessés.
J'ai bien aimé ton exemple de Gérard le gars du F150....c'est pas si loin de la réalité. Toutes les fois où j'ai eu peur à moto, c'était dans un village, à basse vitesse, quand un grand conducteur automobile avait décidé que j'avais en masse de place pour passer ou en masse de bitume pour freiner..... Si j'avais crasher à chaque fois, je vous jure qu'aucun tort ne m'aurais été donné....pis loin de moi l'idée de me penser plus fine qu'un autre, c'est la réalité, pis j'roule en custom, pis suis prudente, puis j'suis les limites, pis j'essaie de toujours anticiper le mouve du véhicule que je vois en avant, etc.
c'est le cas de la pluspart de nous. Si toute les fois ou on a eu affaire a une morron on aurais conduit comme lui, on ferais partie des statistique ....
apres tout, une moto avec un sidecar, c'est pas si large!..un peu plus et elle arrachait le side du bike,,,--il as fallu que je me leve de la moto et frapper a sa vitre pour lui demander c'est quoi l'idee!!!!!*&^%^&*&^%%$
donc desolee, mais les sans-cervelles, c'est aussi quelque fois les adultes qui n'ont pas verifier la maturite de leurs enfants!! et leurs donnent les bebelles rapides !!!!
vecu Aout 2007-- en moins d'une semaine que Zezette etait sur la route!
endroit; St Janvier, heure: 8.25pm...samedi soir!
:twisted: :twisted: :twisted: :evil: :evil: :evil:
ps.. le conducteur pourrait s'appele aussi TiCoune Pedaleauplancher aussi!!
sans prejudice au dames, enpassant!!
Zezette
Peut-on savoir qui est ce "représentant des motocyclistes"?