L'acteur qui m'a marqué.

hadoc · March 2008

L'acteur qui m'a marqué était un passionné et en plus il avait de l'huile à moteur dans les veines. Il a marqué sans le savoir une partit de ma jeunesse et de mon imaginaire. Je l'est retrouvé plus tard dans ces films, ados j'ai eu un posteur de lui dans ma chambre. Mais aujourd'hui grâce à l'ordi je découvre qui il était.

Si je parle de lui ici c'est parce que c'était un passionné de motos. Il a fait des filmes de motos, des courses de motos au niveau internationnal, et il en possédait une centaines au moment de son décès en 1980 à l'âge de 50 ans.

Il s'appel TERRENCE STEVE MC QUEEN. Le 24 mars 2008 sera sa date aniversaire, il aurait 78 ans.

Donc je vais posté des photos de lui sur son histoire avec des fois des textes.

Je vous demande donc de ne pas posté sur le sujet dans cette page avant le 24 mars, à cette date je devrais avoir terminé sur le sujet.

Toute fois il est possible de faire un copie-colé si vous désiré faire des commentaires avant la fin. Merci.

hadoc · March 2008

Une petite idée de ce qui s'en vient, donc à surveiller.

hadoc · March 2008

En 1957, Vincent Fennelly, déja producteur d'une série télé (Trackdown) dans laquelle McQueen avait participé pour deux épisodes (The Bounty Hunter diffusé sur CBS le 7 Mars 1958 et The Brothers diffusé le 16 Mai 1958), a l'idée d'un héros chasseur de primes. Une fois le pilote accepté, la série est vendue à CBS.Elle durera 3 ans et sera l'une des plus populaire de l'histoire de la télévision américaine : Au Nom de la Loi.

hadoc · March 2008

Deux photos en habit d'aviateur durant une pose au cour du film L'homme qui aimais la guerre.

hadoc · March 2008

Bon il semblerais que j'ai des problème avec les texte que je place avec les photos.

La photo du début se termine je crois par " a du gérer l'égos de ces acteurs John Sturges. Il y avait beaucoup d'acteurs connu dans la grande évasion, ou qui fur connu après. C'est un filme basé sur une histoire vrais. Pour la moto elle, bien à la fin je voudrais l'année de la moto, du side, le modéle, cylindré, moi aussi je veux en apprendre.

UN MERCI SPÉCIAL À CHICHILLE 8 pour l'assistance technique.

note: j'ai enlevé les messages en trop. Mais après le 24 mars, je n'y toucherai plus... :)
Chichille8

hadoc · March 2008

Une autre partit, et ce n'est pas fini.

Mr.Biker · March 2008

Voici un lien, en anglais mais avec tout le biography de Steve McQueen.

Assez interesant. :D

zezette · March 2008

Voici quelques fait peu connu du film:

1. dans la sequence au debut, lorsque l'on voit le convoi approchee du stalag, Steve etait l'un des motocycliste allemand d'escorte!!
2. dans certaines sequence de poursuite, c'est aussi lui qui *se poursuit!*-
3. la seule raison pourquoi il n'as pas fait la cascade de saut, les assurances du film ne voulait pas!- pourquoi? parce que ceci avait ete tournee au debut du tournage!! ne pas oublier qu'un film n'est jamais tournee dans la sequence de l'histoire- et si il se serait blessee ou tue, ca foutait le script dehors ou retardait la production!!
4, un des rare films tournee presque completement tournee en exterieur..tres peu de travail de studio.
5. james coburn etait aussi un adepte de la moto!!

zezette!!

hadoc · March 2008

Ici c'est le passage qui explique la course des "6 jours " que Steve a fait en 1964.
Il sagit d'une épreuve ultime, c'est les "olympiade de la moto".

C'est la raison pour laquel je place autant de texte.

Les six Jours d'Herfurt (Allemagne de l'Ouest) en Septembre 1964.
En Septembre 1964 Steve participa à cette épreuve motocycliste sous les couleurs de son pays.
En effet, parmis les pilotes qui formaient son équipe (les frères Dave et Bud Ekins, Cliff Coleman et John Steen), Steve était un simple pilote comme les autres courant pour son pays. Lors du défilé préliminaire il apparut avec le drapeau des USA en main vêtu de la tenue officielle des Etats-Unis (costume et cravate sombre). C'est sur une Triumph 650 cm3 portant le numéro 278 qu'il prit le départ de la course.
Cette course prestigieuse englobait les meilleurs pilotes professionnels : Anglais, Allemands de l'est, Suédois, Soviétiques, Tchécoslovaques, Polonais etc... Steve partit pour Londres où l'équipe devait retrouver les motos. (La sienne était une Triumph 650 cc, aux pneux bosselés, et avec quelques options supplémentaires). En 1964, c'est l'Allemagne de l'Ouet, vainqueur l'année précédente qui recevait les 226 pilotes prêts à faire plus de 1200 miles (200 miles par jour) à travers bois, montagnes, pistes rocailleuses et chemins escarpés, se battant à la fois contre le terrain et le chrono. Le but de chacun était une médaille d'or, accordée aux pilotes qui réussiraient terminer la course sans aucune pénalisation de temps. (Des médailles d'argent et de bronze récompensaient ceux qui n'avaient perdu qu'un minimum de points). "Chaque pilote doit maintenir une moyenne calculée en fonction de la cylindrée de sa moto. On doit suivre un chemin flêché et faire tamponner une carte en route afin de prouver que l'on n'a pas pris de raccourcis. Il faut donc en permanence garder un oeil sur la pendule et un autre sur le compteur kilométrique, afin de maintenir la vitesse appropriée à chaque instant. Le temps est marqué sur la carte à chaque contrôle, et si on perd trop de points pour cause de retard, la médaille s'envole."
Avant le départ, chaque pilote reçut un numéro, fixé à son engin (une Triumph 650 c c). McQueen avait le 278, Bud le 250 (les plus grosses bécanes partaient les dernières et avaient les plus gros numéros). Sur la ligne de départ portant son casque à rayures, un blouson de cuir noir et des grosses bottes de moto, les mains gantées posées sur le guidon, des lunettes de courses sur les yeux, steve n'était qu'un pilote de plus parmi tant d'autres...
McQueen avait dans sa poche arrière une trousse d'outils de première nécessité, car le règlement stipulait que chacun devait réparer uniquemet avec les outils qu'il portait sur lui.
A la fin de la deuxième journée son équipe était en tête à égalité avec l'Angleterre mais menant aux points. La dernière épreuve de la journée se déroulait en forêt sur une route ouverte. Roulant aux côtés du champion britannique John Gills, Steve suivait la route semé d'arbre. Mais à un moment la route tournait et Steve s'est mis à déraper et sortit de la piste la moto d'un côté et lui de l'autre. En tombant, ses lunettes lui avaient coupé la joue. Se relevant, il constata qu'il n'avait rien de cassé et en examinant la bécane il s'aperçu que le pot d'échapement était cassé. Se servant d'un outil placé dans sa poche, il redressa le pot pour le remette en état de marche tout en gardant un oeil sur le chrono, car en prenant plus de trois minute de retard au contrôle, on perd la chance d'avoir une médaille. Cette fois-ci ce fût bon et il arriva au contrôle dans les temps.
C'est le troisième jour que les vraies difficultés arrivèrent. En effet, les chances de l'équipe américaine s'envolèrent quand Bud Ekins heurta un pont de pierres à grande vitesse et se cassa la jambe. Le même jour, au crépuscule, alors que la pluie faisait briller les routes et transformait le circuit en bain de boue, la chance de McQueen en course s'arrêta net. Dans une côte très dure, sa chaîne cassa. Il répara, mais un demi-mile plus loin un autre maillon se brisa. C'est en réparant à nouveau qu'in prit quatre à cinq minutes de retard. Pour rattraper ce retard, il décida de foncer en appuyant à fond sur l'accélérateur avant d'arriver au prochain contrôle.
McQueen allait de plus en plus vite, éclatant littéralement sa puissante Triumphe 650 à travers la campagne allemande grise et détrempée, boue et pierres projetées en arrière par ses roues qui dérappaient. Il était "franchement limite" faisant feu de tout bois pour rattraper le temps perdu.
C'est en arrivant en haut d'un monticule bordé de spectateurs, au bord d'un ravin plein de sapins, qu'un autre type à moto lui coupa la route en fonçant dessus. Il ne l'avait ni vu ni entendu. Avec l'intention de le dépasser sur la gauche, Steve commença à s'engager pensant que le pilote le laisserait passer. Mais il s'est affolé, a viré à gauche et à la dernière seconde le balança. La Triumph vola de l'autre côté du ravin! La moto s'écrasa dans les sapins, pendant que Steve rebondissait plusieurs fois avant de finir sur un rocher. Le visage et les genoux déchirés, il était vivant.
a moto était morte. La roue avant ayant beaucoup souffert, le pneu était fusillé, les fourches étaient repliées sur le châssis. Steve comprit que c'était fini pour lui et que cette chute lui avait coûté la course. Les autres Américains terminèrent les Six Jours. Dave Ekins et Cliff Coleman gagnèrent des médailles d'or et John Steen remporta une médaille d'argent. Ils étaient tous en piteux état.
Bud, une jambe cassée...Steen, cinq points de sutures au menton...Dave, couvert de bleus après être tombé à près de 80 à l'heure, et Steve, ses genoux et tout le reste. Malgré tout, leur équipe avait mérité trois médailles. Et même si Steve était profondément déçu de n'avoir terminer la course. il avait prouvé qu'il était capable de tenir sa place auprès de pilotes de classe internationale, et ça, c'était pour lui une énorme satisfaction!

hadoc · March 2008

Photos prise lors du filme "La canonnière du Yang-Tse en 1966.

hadoc · March 2008

Photos prise durant le tournage de Bullitt en 1968. Vous remarquez la première photo, et dite moi ce qui prouve que le gars " y connais ça".

hadoc · March 2008

Quelque photos prisent durant le filme Rever, on Steve initie le jeune Mitch Vogel à la moto.

hadoc · March 2008

Le Man est un film que Steve voulais faire parce que ça lui tentait, mais il n'a pas bien été reçu, mais ça reste un très bon film de course.

hadoc · March 2008

"On any sunday" de 1971 est un film sur la moto tout terrain fait par Steve et sa compagnie et un gags d'amis.

hadoc · March 2008

Plusieurs photos disparate avant la conclusion.

hadoc · March 2008

Hier c'était la date anniversaire de Steve McQueen, il aurais eu 78 ans. Pourquoi j'ai faite tout ce post, bien parce que avec l'intrenet j'ai découvert un peut plus Steve, et je me suis rendu compte qu'il y avais quelque similitude avec moi.

Quand j'était "plus jeune" je me disait comme pour me stimulé, "qui ne risque rien n'a rien".

Plus tard j'ai retenu dans une chanson de Patrik Bruel, "vaut mieux avoir des remords plutôt que des regrets, donc essaye.......essaye"

À bien y pensé, j'ai très peut de regrets sinon d'avoir écouté un conseil et de ne pas avoir acheté mon "Solex 3800" que je regret encore aujourd'hui. Si je l'aurais acheté avec les premier sous de ma première "job" d'été, je suis convaincu que j'en n'aurait pas de remords.

Donc plus tard, à un moment ou je faisait du "pouce" entre Black-Lake et St-fer, j'ai vue arrivé une moto. Bon, une moto n'arrête pas pour prendre un "pousseu", mais je n'est pas de remords ni de regret, ce fut la plus belle balade à moto de ma vie, une Bonneville 650cc, du milieux des année 60.

Plus tard en revenant de Boston, j'ai vue un avion sur le bord d'un petit aéroport au "state". Il en avait au moins une trentaine plus loin, mais c'était celle la dans lequel je voulait volé. Après avoir accosté le type qui marchait nonchalamment près de l'avion, je lui dit dans mon plus belle "anglais", "wat dou you price tou the ride tou the air plane". À tous les "ceuses" qui sont en train de se rouler par terre je dit,

---------------"vaut mieux avoir des remords plutôt que des regrets, donc essaye.......essaye"

Dans les dernière photos qui suivent, il y a des similitudes avec Steve, très loin, mais quand même.

Et je place deux adresses de site qui parle de Steve.

Si quelqu'un de vous a des adresses de site sur Steve, vous pouvez les posté, je vais pratiqué mon "angla".

http://morinos.macqueen.free.fr/index.htm

http://www.mcqueenonline.com

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